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Mark Pilon

Vice-président principal — Développement des affaires pour le Canada

3 années chez ITI Collaborer Connecter Croître

Avec son rire communicatif, Mark créé instantanément des liens avec les gens qu’il rencontre. Comme il le dirait lui-même dans sa langue maternelle, il est un people person. Sa passion contagieuse pour le développement des affaires fait de lui un leader rassembleur.

Pourquoi as-tu choisi les TI comme carrière ?

Je suis comptable de formation. Au début de ma carrière, j’étais le plus jeune de ma firme, et je travaillais des heures de fou. Un soir, alors que j’étais au bureau autour de 22 h, j’ai remarqué un collègue de 76 ans qui était encore là, comme moi. Je savais qu’il était divorcé deux fois, et que ses enfants ne lui parlaient plus. J’ai réalisé à ce moment-là que cette vie-là n’était pas pour moi.

En même temps, mon ami qui travaillait en TI me racontait qu’il avait beaucoup de plaisir au boulot. Et il gagnait plus que moi ! J’ai donc fait le saut vers cette industrie, en commençant au bas de l’échelle. J’y suis resté 22 ans, avant de prendre ma “pré-retraite” en 2020. À ce moment-là, j’avais besoin d’une pause pour passer plus de moments en famille.

Peu de temps après, Jean-François Bordeleau et Patrick Richer m’ont téléphoné et on a discuté. J’ai été charmé par ITI. Non seulement l’équipe de direction voulait faire les bonnes choses au bon moment, sans rien précipiter, mais en plus j’y voyais une super occasion d’amener une compagnie québécoise à percer dans le reste du Canada. J’ai sauté dans le train, et je ne le regrette pas !

Comment parlerais-tu d’ITI à un nouveau talent qui souhaite se joindre à l’entreprise ?

Chez ITI, c’est “choose your own adventure”. Ce que je veux dire, c’est que l’entreprise va te redonner ce que tu y mets. Tu peux construire ton propre parcours, et tu auras le soutien des gestionnaires. Tout part de la volonté.

Ce qui me plaît aussi, c’est qu’il n’y a pas de guerre d’ego chez ITI. Les gens veulent faire les bonnes choses pour l’entreprise et nos clients, pas pour leurs désirs personnels. Cette façon de penser accélère tout, pas juste la croissance de nos clients ; celle de nos employés aussi. C’est franchement motivant de savoir que tout le monde vise le même objectif.

Ce qui me plaît, c’est qu’il n’y a pas d’ego chez ITI. Les gens veulent faire les bonnes choses pour l’entreprise et nos clients, pas pour leurs désirs personnels. Cette façon de penser accélère tout, pas juste la croissance de nos clients ; celle de nos employés aussi.

Quelle est la place de l’humain dans les technologies ?

Je suis d’avis qu’une machine ne pourra jamais nous dire la meilleure chose à faire, ou les réels besoins d’un client. Il faut savoir écouter et lire entre les lignes, et pas un logiciel sur la planète ne peut faire ça ! Ça prend des humains engagés envers le client, avec les valeurs à la bonne place, et qui prennent le temps de bien comprendre le but à atteindre.

Je suis d’avis qu’une machine ne pourra jamais nous dire la meilleure chose à faire, ou les réels besoins d’un client. Il faut savoir écouter et lire entre les lignes, et pas un logiciel sur la planète ne peut faire ça !

Qu’est-ce qui te motive à te lever et à travailler le matin ?

L’interaction avec les gens. Je suis un vendeur, mais je suis avant tout quelqu’un qui veut construire des relations. Plusieurs clients que j’accompagne depuis des années sont devenus des amis personnels. J’aime aussi garder contact avec d’anciens employés ou collègues. Je pense que ce sont les liens qu’on tisse qui donnent un sens à ce qu’on fait. Honnêtement, la pandémie a été difficile pour moi à ce niveau-là. Le contact des gens m’a beaucoup manqué.

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